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Paige

, 23 ans
à 42 km de vous
Dernière connexion: il y a 2 heures

Informations

  • ⚥ Femme
  • 💑 Hétérosexuel
  • 🔓 Célibataire

Physique

  • 📏 160-170 cm
  • 💪 Normale
  • 💈 Brun
  • 👁️ Brun

Mode de vie

  • 👶 Aucun enfant
  • 🚬 Ne fume pas
  • 🍺 Ne bois pas

A propos

2024 Dans les ombres grises de l'aube, mon existence s'étire, une toile tissée de tristesse et de solitude. Les jours s'enlacent dans une danse morne, rythmée par le battement régulier de mon cœur solitaire. Mes pas errants foulent des chemins arides, où les fleurs fanées témoignent du déclin de mon âme. Chaque matin, je me lève pour affronter le poids écrasant de la monotonie, une charge lourde qui écrase mes épaules fragiles. Les heures s'étirent, languissantes, dans une danse sans fin avec le néant. Les murmures du passé hantent mes pensées, échos mélancoliques d'une vie évanouie. Dans le miroir, le reflet d'une femme brisée me confronte, ses yeux empreints de mélancolie cherchant en vain une lueur d'espoir. Les rires lointains des souvenirs heureux résonnent comme des échos d'un monde oublié, un rêve éphémère emporté par les tourments de l'existence. Les saisons défilent, égrenant les jours comme des grains de sable dans un sablier inexorable. Je suis une voyageuse solitaire dans un océan d'indifférence, naviguant vers un horizon obscur où le crépuscule éternel m'attend, tendant ses bras glacés pour m'envelopper dans son étreinte silencieuse. Pourtant, au fond de mon cœur brisé, subsiste une lueur fragile, un souffle ténu de résilience. Dans les replis de l'obscurité, j'aspire à trouver la force de renaître, telle une fleur émergeant des cendres de l'hiver, pour embrasser la lumière et insuffler à mon existence le doux parfum de l'espoir. 2018 Un être fracturé. Une âme meurtrie. Tel est mon état, je le crains. Quand l'être aimé s'efface de nos vies, son absence continue à nous hanter, nuit et jour, nous plongeant dans une maladie de l'âme. Avec le temps, nous apprenons à laisser partir cette personne... Je sens que je suis parvenue à cette phase. Mais voilà le dilemme : je perçois qu'une part de moi-même s'en va aussi. Je deviens une carcasse, une coque vide. Mon attachement aux choses, aux êtres, s'amenuise de jour en jour. Dans cette évaporation, la douleur laisse un vide béant. Mais comment remplacer alors cette douleur ? Après l'orage, dit-on, vient le beau temps. Mais pas cette fois. Rien ne succède à cet ouragan. Ni l'aube, ni le crépuscule, le temps semble suspendu. Un sentiment d'accablement et de vacuité m'envahit. Comme si je me retrouvais dans le cosmos, entourée de néant, seulement du silence, avec le pressentiment que personne ne viendra me secourir. L'impression de demeurer ainsi pour l'éternité. Je me réfugie alors dans des plaisirs éphémères. La musique, internet... et finalement peu de choses d'autre. Je peine à trouver une passion. Ma vie devient dès lors monotone, et c'est pour cette raison que je me suis retrouvée ici. Nous nous réfugions tous en ce lieu car quelque chose cloche dans nos existences. Est-ce vraiment normal de devoir recourir à internet pour échanger avec autrui ? Nous n'en retirons aucun bénéfice, ce monde virtuel ne fait que nous éloigner les uns des autres. Cette nuit-là, je quitte le foyer. J'ai besoin de ressentir l'air, de contempler le firmament. Je déambule, je m'arrête sur une balançoire, je lève les yeux vers le ciel étoilé. Les astres éveillent en moi une myriade d'émotions. Lorsque je les observe, j'ai l'impression de contempler la vie, comme si elle avait un visage... Malgré le froid mordant, l'ivresse m'insensibilise. Une vague d'émotions me submerge. Souvenirs, regrets, appréhensions... Je revis le passé, je déplore le présent, je redoute le futur. Encore une soirée où le malaise m'étreint, une soirée où je peine à apaiser mon esprit. Je ressens un vent souffler en mon sein. Mes pensées se bousculent, je me sens désemparée. "Lâche prise, Paige", voilà ce que susurrait la voix en moi. Plus je tente de m'y retrouver dans mes pensées, plus la panique m'envahit, plus je m'égarde. Il m'arrive de céder à la facilité lorsque la pression devient trop intense... Cette fois, j'ai choisi de lâcher prise, sans recourir à l'alcool ou à la drogue. J'ai décidé d'affronter le mal, d'écouter de la musique et d'écrire. J'aime écrire, les souvenirs, les états d'âme, tout prend forme sous ma plume. Je perçois les jugements que portent les autres à mon égard, froide, voir hostile. Mais ces traits ne représentent qu'une infime partie de ce que je suis. Je me sens mal à l'aise en compagnie d'inconnus, mon manque d'assurance m'incite à dissimuler ma véritable nature. Ainsi, ils me jugent, mais ils ne voient que ce que je veux bien leur montrer. Je peux me montrer acariâtre ou simplement distante, de sorte que les liens ne se tissent pas, et c'est peut-être préférable ainsi. Je questionne mes choix quotidiennement. Ai-je fait preuve d'intelligence ? Ai-je réagi adéquatement ? Ai-je fait le bon choix ? Ce genre de questions tourmentent mon esprit en permanence. D'autres ont connu des épreuves plus difficiles que les miennes. Je devrais me considérer chanceuse en comparant mes maux à ceux d'autres personnes, mais je crois que la douleur d'une personne ne pourrait être comparée à celle d'une autre. Chacun ressentirait la même douleur face à une morsure de serpent, mais nous ne pouvons prétendre évaluer la peine qui ronge l'âme d'autrui. Il serait merveilleux si nous pouvions ignorer nos sentiments, nos émotions, et trier nos souvenirs, préserver les souvenirs que nous chérissons et chasser ceux qui nous sont insupportables. Un peu comme une galerie photo, on garde les belles photos et on jette les moches à la corbeille. Si nous ne pouvons chasser nos démons, alors faisons la paix avec. Tout est une drogue. À mesure que l'habitude s'installe, les sensations s'émoussent. C'est le cycle de l'accoutumance. C'est pareil pour tout, y compris l'amour. Suicide doesn't take away the pain, it gives it to someone else. Maybe there is no turning back for me. I've let myself go, destroying myself by drinking and taking pills almost all the time. I believe this may destroy who I am, but I keep asking myself who the hell I am. I spend my time with life feeling nothing for her. Death is around the corner waiting for me to join her, but I don't know her. But what do I have to lose? Life is unforgiving. Life is cruel. One day I'll die, and hopefully there is something else beyond this broken world. I don't want help; I can help myself or maybe I can't, but does it matter? People don't know how troubled I am; people don't know what's going on in my head. Des informations comme ça, à grappiller sur moi : Oui, Paige est mon prénom. '-' Oui, comme dans Charmed, la sorcière là. Bah c'est moi. J'adore par-dessus tout le porc au caramel. Et la raclette. Je suis plutôt branchée rock et vaporwave. Je suis pluviophile, j'adore la pluie. Je suis nyctalope, je peux voir dans le noir. Impressionnant, non ? Oui, je sais, je vous ennuie avec ces noms bizarres, pluviophile, nyctalope... moi-même, ça me gave. J'aime bien écrire, un peu. Et lire, bien sûr, mais je préfère écrire. Vous enlevez le "o" de Ados dans Rencontre Ados et vous obtenez Rencontre Ads. On terminera là-dessus...

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